
A la création de ce blog, lors de l'écriture de billets propres à mon adolescence, son ombre est venue amicalement se pencher souvent sur mon épaule. Il reconnaitrait surement certaines anecdotes et des disques que nous avons partagés. Il a accompagné bien des jours de tristesse et de joie. Puis nos vies se sont séparées, allez savoir pourquoi. Et puis qu'importe, nous ne nous devions rien si ce n'est de petits instants de bonheur partagés. C'était déjà beaucoup.
Son nom s'est inscrit automatiquement sous mes doigts l'autre jour. Magie du net. Hasard ou coincidence. D'une piste à l'autre j'ai retrouvé sa trace. Le CEC Georges Elie à Bondy fut le révélateur.
Le lien ténu de notre jeunesse ne tient maintenant qu'à ces dix chiffres qu'il m'a communiqué. Je dois l'appeler. Je me sens comme un enfant étouffé par l'émotion.
1 commentaire:
c'est sûr mais il faut le faire !!!!
quand la vraie vie rejoint la fiction c'est extraordinaire ....
beaucoup d'émotion en lisant votre billet !
sophie (des grigris)
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