Je devais avoir à peu près cette trombine à l'époque où je l'ai connu sans me rappeler très exactement la date. Nous ne nous sommes pas quittés pendant des années. Plus de quarante ans ont passés. A chaque évocation d'une part de mon adolescence, son image refait surface. Et souvent je me suis demandé ce qu'il était devenu. J'ai tapé bien des fois son nom sur le clavier de mon ordinateur sans résultats probants ou associés à des résultats fantaisistes. J'ai même fait une recherche négative par l'intermédiaire des pages blanches dans tous les départements limitrophes de Paris. Etait-il sur liste rouge ? Etait-il parti s'installer en province ? j'ai même pensé avec tristesse à l'irrémédiable. jeudi 25 février 2010
Alain, mon poulos.
Je devais avoir à peu près cette trombine à l'époque où je l'ai connu sans me rappeler très exactement la date. Nous ne nous sommes pas quittés pendant des années. Plus de quarante ans ont passés. A chaque évocation d'une part de mon adolescence, son image refait surface. Et souvent je me suis demandé ce qu'il était devenu. J'ai tapé bien des fois son nom sur le clavier de mon ordinateur sans résultats probants ou associés à des résultats fantaisistes. J'ai même fait une recherche négative par l'intermédiaire des pages blanches dans tous les départements limitrophes de Paris. Etait-il sur liste rouge ? Etait-il parti s'installer en province ? j'ai même pensé avec tristesse à l'irrémédiable. Les naufragés du Fol espoir
mercredi 24 février 2010
mardi 23 février 2010
Jacques Higelin : Coup de foudre
On danse beaucoup sur ces nouveaux titres réunis sous le titre "Coup de foudre". C’est sans doute parce qu’ici l’idée, d’emblée, a été de monter un groupe, LE Band, et d’enregistrer en studio comme en "live". Ce studio, un immense grenier ouvert, se prête à merveille à ce genre d’approche très 70’s où les musiciens enregistraient ensemble et pas les uns après les autres comme souvent maintenant.
"Jacques s’est retrouvé très libre, donc, comme il l’est sur scène et on a construit ensemble, autour de ses musiques et de ses mots", déclarent ses réalisateurs, Rodolphe Burger et Dominique Mahut. Cela supposait d’être entouré de très bons musiciens : Geoffrey Burton, Alberto Malo, Erik Truffaz, Marcello Giuliani, Julien Perraudeau… "Avec eux se sont construits douze vaisseaux autour de Jacques. Mille tours de manège enchanté, le réel et son double : sans filet, à fond, en joies."
Musicien éclectique, Jacques Higelin est capable de passer du piano à l’accordéon, de l’harmonica à la guitare… Le titre Alertez les bébés, issu de l’album du même nom (1976), donne toute l’étendue de son talent : dix minutes et huit secondes avec pour seuls instruments sa voix déchirée et son piano. Un morceau à mi-chemin entre le blues et le rock. dimanche 21 février 2010
Charles Dickens par Peter Ackroyd
samedi 20 février 2010
We're Only In it for the money, Frank Zappa (1968)
vendredi 19 février 2010
Abbey Road à vendre
Histoire d'un mythe.

C'était il y a quarante ans et les fans du monde entier se sont retrouvés l'été dernier pour fêter l'événement.

Hélas, la rue Abbey Road et les studios mythiques sont aujourd'hui à vendre. EMI, la compagnie propriétaire, n’a pas commenté l’information dévoilé par un quotidien économique. Cependant, assure celui-ci, cinq personnes proches du dossier lui ont dit que la maison de disques avait démarché des acheteurs potentiels pour les studios. Le journal avance un prix possible de «plusieurs dizaines de millions de livres». Il n’était pas clair encore si EMI vendrait la marque Abbey Road avec les studios, mais, selon un avocat spécialisé dans les médias cité par le FT, «la marque vaut plus que le bâtiment, et quiconque voudra les studios voudra aussi leur nom». EMI avait acheté l’immeuble du 3 Abbey Road, dans le nord-ouest de Londres, pour 100.000 livres en 1929. Pendant la guerre, le studio avait servi à l’enregistrement de discours de propagande par le gouvernement et à la BBC. Puis les Beatles l’avaient utilisé de 1962 à 1969, jusqu’à baptiser de son nom leur ultime album. Pink Floyd, rappelle le journal, y a aussi enregistré Dark Side of the Moon. Une telle vente pourrait redonner un peu d’allant aux finances d’EMI.
jeudi 18 février 2010
Censure.
mercredi 17 février 2010
Lorsque papa dansait...
mardi 16 février 2010
Froid de gueux.
lundi 15 février 2010
On en reparle bientôt.
dimanche 14 février 2010
samedi 13 février 2010
Emily Loizeau : Pays sauvage
Avec Pays sauvage, elle arpente toujours les contrées visitées par Lewis Carroll, Bob Dylan ou Tom Waits, dont elle dit s'inspirer, mais semble plus apaisée. « Sur L'Autre Bout du mondeplanait la mort de mon père, souligne Emily Loizeau. Aujourd'hui, le deuil est fait. J'ai envie de vie. » Et cela s'entend dans sa musique et dans ses mots, qui tirent leur force des voyages imaginaires ou réels qu'entreprend la jeune femme. « J'aime les contes, j'aime leur poésie, leur façon de parler de choses intimes à travers le voile des histoires, explique-t-elle. Parler de soi dans une chanson est très étrange. On s'y livre et on s'y cache en même temps. » vendredi 12 février 2010
Elliott Erwitt jusqu'au 4 avril à la MEP


jeudi 11 février 2010
Salauds de pauvres !
mercredi 10 février 2010
Magnolia de Paul Thomas Anderson
mardi 9 février 2010
LE MOCHE de Marius Von Mayenburg
lundi 8 février 2010
Agnès Jaoui : Mon pays
samedi 6 février 2010
Costard Pochon t'as l'air d'un con
vendredi 5 février 2010
Izis : Paris des rêves
jeudi 4 février 2010
Jamie Cullum, The Poursuit
mercredi 3 février 2010
Michael Bublé : Crazy Love
Les vieux de la vieille auront du mal à l’admettre, mais force est de constater que le crooner canadien Michael Bublé a de moins en moins à envier à ses maîtres, Sinatra en tête. Sur scène, on jurerait voir un membre moderne du Rat Pack et en studio, où, comme par hasard, il a travaillé cette fois avec l’orchestre qui l’accompagne en spectacle, Bublé n’a peur de rien. A notre connaissance, il est le seul de sa génération qui, en 2009, peut s’attaquer à Georgia sans que Ray Charles se retourne dans sa tombe. Pareillement, lorsqu’il fait sienne Cry Me A River, on a le sentiment que même la grande Julie London serait fière de lui. Avec son jazz vocal calibré pour l’happy hour et, pourquoi pas, tous les autres moments d’une journée idéale, Bublé fait des miracles lorsqu’il habille, façon 50’s, cette All I Do Is Dream Of You qui date des années 30. Parce que le temps n’est pas son problème, il intègre également avec aisance à son répertoire la pourtant typée Crazy Love (de Van Morrison), qui donne son titre à un album tout feu tout strass. Bien décidé à ne plus rien se refuser, Bublé ose même un duo avec Sharon Jones sur Baby (You’ve Got What It Takes), chanson qui va comme un bas de soie à l’actrice aux courbes de rêve et aux instincts basiques.
mardi 2 février 2010
Les Enfants du Paradis

Alexandre Trauner
Jacques Prévert
lundi 1 février 2010
Emily Loizeau : Pays sauvage
Avec Pays sauvage, elle arpente toujours les contrées visitées par Lewis Carroll, Bob Dylan ou Tom Waits, dont elle dit s'inspirer, mais semble plus apaisée. « Sur L'Autre Bout du mondeplanait la mort de mon père, souligne Emily Loizeau. Aujourd'hui, le deuil est fait. J'ai envie de vie. » Et cela s'entend dans sa musique et dans ses mots, qui tirent leur force des voyages imaginaires ou réels qu'entreprend la jeune femme. « J'aime les contes, j'aime leur poésie, leur façon de parler de choses intimes à travers le voile des histoires, explique-t-elle. Parler de soi dans une chanson est très étrange. On s'y livre et on s'y cache en même temps. » Emily Loizeau : Pays sauvage
Le Boulevard du Crime et Les Enfants du Paradis


Le mime Debureau par Nadar


