mercredi 30 septembre 2009
Une femme.
Ce jour là : Les marchandes de frites, 1946
mardi 29 septembre 2009
Passé les bornes y'a plus de limites.
Ce jour là : Chez Maxe, Joinville, 1947

Chez Maxe, Joinville, 1947
Ce jour-là, j’étais debout sur une chaise. J’étais allé à Joinville pour un reportage sur les guinguettes que m’avait demandé Le Figaro qui éditait alors tous les trimestres un bel album sur papier couché, avec des textes d’artistes, d’écrivains, de poètes.C’était en 1947, un dimanche après-midi. J’aimais en particulier l’ambiance de ces guinguettes, j’y venais régulièrement. Chez Maxe, c’était le nom de celle-ci, curieusement écrit avec un « e », et dès que je suis entré j’ai vu un groupe de danseurs vers le fond, que j’ai eu envie de photographier. Tout de suite. Mais il me fallait chercher un point de vue, je ne pouvais pas aller directement sur la piste car la photo aurait été prise de trop près, il me fallait trouver un endroit qui me ferait dominer l’ensemble de la danse. C’est ce mouvement général de la salle et de la danse qui m’attirait. Et que je voulais saisir. Alors, j’ai grimpé sur une chaise, juste derrière ce couple qui est là, devant, de dos. Ce sera mon premier plan, j’ai pensé. Mais une fois sur la chaise, mon attention a été attirée vers un garçon qui faisait danser deux filles, très librement, très élégamment, sur la droite. C’est mon sujet, je me suis dit. Je le sens tout de suite quand je trouve mon sujet. Alors, j’ai fait signe au danseur pour qu’il se rapproche. Lui aussi m’avait remarqué, il m’a compris aussitôt et, tout en dansant avec les deux filles, il s’est avancé vers moi?: c’est alors que j’ai fait ma photo. Il dansait comme un dieu. Et d’ailleurs, pour faire danser deux filles comme ça, il fallait qu’il ait vraiment du talent. Mais quand la musique s’est arrêtée et qu’il a repris sa place, je me suis aperçu qu’il avait un pied bot. J’étais stupéfait. C’était tout à fait invisible quand il dansait.Le moment où je choisis de prendre une photo est très difficile à définir. C’est très complexe. Parfois, les choses me sont offertes, avec grâce. C’est ce que j’appelle le moment juste. Je sais bien que si j’attends, ce sera perdu, enfui. J’aime cette précision de l’instant. D’autres fois, j’aide le destin. Par exemple, ici, je sais que le premier couple ne s’est rendu compte de rien, mais pour avoir cette photo précise, je les ai vraiment appelés, mes danseurs.L’histoire ne s’arrête pas là. Il y a trois ans, j’ai reçu une lettre de la danseuse qui est sur la droite. Elle me disait qu’elle voyait cette photo de temps en temps dans la presse et qu’elle tenait à me dire combien elle était touchée par tout ce qu’elle représentait. Sa jeunesse, l’ambiance de ces guinguettes, et bien sûr la jeune fille qui dansait sur la gauche qui était une copine d’enfance?: depuis la maternelle, précisait-elle. Mais le garçon, non, elles ne l’avaient plus jamais revu. Elles n’avaient dansé que cette fois-là avec lui.
vendredi 25 septembre 2009
Embrouille au G20
jeudi 24 septembre 2009
Devoirs de Vacances 2 : L'archange et le procureur
mercredi 23 septembre 2009
Un soir d'automne un voyageur...
mardi 22 septembre 2009
Les grosses têtes.
lundi 21 septembre 2009
Le stress...
samedi 19 septembre 2009
Putain, quatre ans
envoyé par manue133. - Gag, sketch et parodie humouristique en video.
envoyé par 974cilaos. - Regardez plus de vidéos comiques.
envoyé par Canislupus10. - Gag, sketch et parodie humouristique en video.
BON ANNIVERSAIRE RAFAEL
"La mode du suicide..."
Le Monde vendredi 18 septembre 2009 :

vendredi 18 septembre 2009
Devoirs de vacances 1 : Qoëlet
jeudi 17 septembre 2009
La Papounette
mercredi 16 septembre 2009
L'Ile aux Enfants
Rien ne va plus à l’Ile aux Enfants. Dans sa filiale France Bouldegom dirigée par Casimir, une enfant est tombée récemment du quatrième étage. Monsieur Du Snob, Jérôme, Lucile, Pomme et Gnassou m’ont confirmé que la solidité des barres d’appuie aux fenêtres n’avait rien à voir. J’ai alors pensé que se taper du Gloubi-Boulga tous les midis à la cantine pouvait conduire à des actes irrémédiables. Albéric Mr Beauchêne, Le Capitaine, Mlle Futaie et Léonard m’ont jeté alors un sale œil. Faut dire que de la confiture de fraises, des bananes mûres à point, bien écrasées, du chocolat râpé, de la moutarde de Dijon, très forte, une saucisse de Toulouse, crue mais tiède, recette a laquelle Casimir ajoute parfois question de varier les menus quelques anchois, ou un peu de crème chantilly, et ça tous les jours, ben faut être fort mentalement et avoir une excellente santé. Mais à leurs regards j’ai tout de suite compris que je faisais fausse route. Alors, quoi ? Tout à l’air de bien aller. Les enfants s'égaient en toute liberté dans le décor de Bouldegom, grimpent sur "l'arbre rouge" ou jouent avec les balles, trottinettes et vélos mis à leur dans les bureaux. Ils participent régulièrement aux jeux et activités organisés par François ou Julie. Et pourtant nous en sommes au 23 ème suicide. « Il y a quelque chozé dé pourri au royaume dé France Bouldegom » a déclamé Hamlet, un voisin de table danois. Alors que ce passe-t-il vraiment chez France Bouldegom ? Saurons-nous un jour la vérité sur les activités régulières du machiavélique, Mr Travling ! Les enfants de France Bouldegom contaminés par le virus de la grippe sont ils suicidés par les enfants sains ? Est-ce Casimir lui-même qui jette ces fameuses boules grippantes achetées chez un marchand de farces et attrapes de Bagdad, stockées depuis la guerre du Golfe, pour se débarrasser des enfants les plus encombrants ? L’enquête ouverte par le parquet de Disneyland nous le dira, car pour l’instant avouons le c’est mystère et Bouldegom. mardi 15 septembre 2009
Résultats : La Parisienne
Elles étaient 17396.
Isabelle est arrivée 3164 ème
Aurélia 8758 ème
Evelyne 9153 ème
http://www.la-parisienne.net/
lundi 14 septembre 2009
Guillaume Apollinaire
dimanche 13 septembre 2009
Willy Ronis
Le second, celui consacré au fil de ses promenades sur les bords de Marne. De la fin des années trente aux années quatre-vingt-dix, ses images révèlent l’eau, la nature, les guinguettes, les sorties en famille, une immense joie de vivre. Ainsi est né Le Val et les bords de Marne.
En même temps pour en savoir plus sur Willy Ronis, faites une petite visite au blog de saintsulpice qui lui consacre un très bel hommage.
Panique à Disneyland
samedi 12 septembre 2009
Pandémie à Disneyland
vendredi 11 septembre 2009
La Parisienne
Je ne sais pas si vous vous rendez compte ce que ça peut faire 17500 femmes en train de courir cette course atypique de 6km, question de mettre les femmes à l’honneur dans la lutte contre le cancer du sein, afin d'en sensibiliser certaines et donner de l'espoir à d'autres ?
« En choisissant une distance accessible à toutes, La Parisienne laisse la compétition loin de sa ligne de départ et donné l'envie, le goût, la curiosité, la fierté à toutes celles qui n'y croyaient pas de relever ce petit défi sur elle-même.
Dessiner un objectif assez glamour et joyeux permet à plus d'une Parisienne de s'accrocher à la course à pied, se discipliner dans son hygiène de vie et s'accorder des moments à soi. »
Elles s’envoleront dimanche matin à 10h00 du Pont d’Iéna pour se poser six kilomètres plus loin sur la Place Joffre. Juste le temps de boire un café et manger des croissants.
Si d’aventure vous vous trouvez sur le trajet n’hésitez pas à encourager chaleureusement toutes les participantes, notamment Evelyne, Aurélia et Isabelle dotées respectivement des dossards 5765, 5764 & 5778. Ce n’est pas bien difficile, je vous ai communiqué les numéros.
Allez, les filles. jeudi 10 septembre 2009
mardi 8 septembre 2009
l'Affaire Moulinsart

lundi 7 septembre 2009
dimanche 6 septembre 2009
Les grigris de Sophie
samedi 5 septembre 2009
Putain de ballon
vendredi 4 septembre 2009
Usine Retraite
jeudi 3 septembre 2009
Vie de chien

