On a découvert des crop circles en Tasmanie. Preuve que des extraterrestres se sont pointés dans le coin.
Un crop circle, est un motif réalisé dans un champ de blé ou d'autres céréales par flexion des épis afin de représenter diverses formes géométriques. Ces formes peuvent aller d'un simple cercle de quelques mètres de diamètre à des composition de plusieurs centaines de mètres impliquant de nombreuses sections. Mais ce n’est pas dans le blé qu’on a découvert des crop circles mais dans des champs de pavots destinés à l’industrie pharmaceutique. La Tasmanie est en effet le plus exportateur mondial d'opium cultivé légalement sur le marché pharmaceutique, et l'Australie fournit environ 50% de l'opium cultivé légalement utilisé pour fabriquer morphine et autres analgésiques.
Après un examen et une traque minutieuse des extraterrestres, Lyndley Chopping, un agriculteur retraité ayant travaillé lui-même dans ces champs, a personnellement remarqué un comportement étrange de la part de kangourous squatteurs. "Ils viennent et mangent des coquelicots et ils disparaissent, puis ils reviennent et marchent en cercle de façon curieuse sur les plantations".
Donc pas d’extraterrestres, mais des kangourous complètement shootés qui se mettraient à tourner en rond de façon étrange, détruisant ainsi les plantations, ce qui ne plaît pas, mais alors pas du tout aux autorités. Rick Rockliff, un porte-parole de la société des producteurs de pavot de Tasmanie, s'intéresse de près à la question. Pour lui, le fait que la faune et le bétail consommant des coquelicots "agissent bizarrement" est un fait notoire. Il ajoute par ailleurs que si les incursions de kangourous sont plutôt rares, il [avait] déjà repéré d'autres animaux dans les champs, agissant anormalement". "Il y a eu beaucoup d'histoires sur les moutons qui avaient mangé une partie de l'après récolte, ils se promenaient dans tous les sens" a t-il indiqué. "Mais, comme producteurs, nous faisons de notre mieux pour essayer d'arrêter ce type de consommation, en particulier par le bétail, en raison de préoccupations au sujet de la contamination de la viande. "Il y a aussi un risque pour nos stocks. Les agriculteurs prennent ça très au sérieux, mais il y a eu une augmentation régulière du nombre d'animaux sauvages ces dernières années, et il est difficile pour nous de les maintenir tous hors de notre terre", avoue-t-il, impuissant.
En tout cas, dès demain, ma femme et moi, à défaut de kagourou, on se met au mouton en provenance de Tasmanie et nourri au pavot. Ensuite on se courra après, tout nu et en cercle dans l’appartement. Ca fera toujours rire les petits enfants. La vraie vie, quoi.
2 commentaires:
je ne sais pas ce qu'en penseront vos petits enfants mais moi j'ai beaucoup ri !!!!!!
génial cet article !
de quoi "alimenter " notre repas du soir !
sophie (des grigris)
oh moi aussi j veux du mouton
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