vendredi 28 janvier 2011

Georges Rouquier de Farrebique à Biquefarre

Ses films majeurs Farrebique et Biquefarre, si singuliers dans le paysage cinématographique français par leur représentation du monde paysan de l’Aveyron, sont sans cesse redécouverts par des générations de cinéphiles. L’ouvrage est enrichi du bouleversant texte autobiographique Pêchelune. Ce livre constitue l’unique référence sur Georges Rouquier (1909-1989), cinéaste dont l’oeuvre suscite un engouement qui ne se dément pas. Ses films majeurs : Farrebique (1946) et Biquefarre (1984), si singuliers dans le paysage cinématographique français de par la représentation qu’ils nous proposent du monde paysan, sont sans cesse redécouverts par les nouvelles générations de cinéphiles. L’oeuvre de Rouquier est connue et reconnue dans le monde entier, principalement outre-Atlantique où l’on considère ses films comme de fructueux objets d’étude pour les futurs cinéastes. Mais ces deux oeuvres phares ne doivent pas occulter un itinéraire cinématographique riche de nombreux films courts ouy longs métrages que cet ouvrage parcourt minutieusement.En ouverture figure un texte autobiographique bouleversant de Rouquier, « Pêchelune », qui donne encore plus de relief à son oeuvre.
Dominique Auzel enseigne à l’Université de Toulouse et dirige l’option cinéma audiovisuel dans un lycée de Rodez.
Dominique Auzel, Georges Rouqier de Farrebique à Biquefarre, Cahiers du Cinéma

1 commentaire:

pierre bondil a dit…

Un jour, en passant dire un petit bonjour à Henri Langlois, Delphine Seyrig, Baudelaire, Gainsbourg et quelques autres au cimetière du Montparnasse, j'ai, par le plus grand des hasards, découvert les tombe de Georges Rouquier. De temps en temps, je passe lui dire bonjour et merci.
Pierre Bondil