vendredi 8 janvier 2010

Hommage à Pasolini

Je ne sais comment les idées me viennent, ni comment elles se télescopent. Tenez, l'autre jour je pensais à mon fils dont je n'avais reçu aucune nouvelle depuis l'année dernière. L'idée des moufles m'est passée par la tête. J'avais les mêmes dans la marine quand j'effectuais des veilles en passerelle lors de la surveillance des pêches à Terre-Neuve. A part tenir une paire de jumelles, on ne pouvait rien foutre avec. Donc on se les gardait comme des grosses pattes d'ours, sinon on se gelait les doigts. Pis qu'est-ce que vous voulez faire d'autre que du scotère avec des moufles pareilles ? Bref ! Une fois l'idée des moufles venue, mon fils m'a téléphoné Comme quoi, les moufles c’est toujours utile. En tout cas nous en avons bien ri ensemble. Le scotère c'est un vieux fantasme. Et l'ouverture magnifique du film de Moretti m'est alors revenue en mémoire. Et dans ce film, il y avait aussi un hommage rendu au cinéaste Pasolini que je ne peux m’empêcher de vous faire partager. Comme quoi les moufles, mon fils et le scotère....

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1 commentaire:

sophie a dit…

C'est ce qu'on appelle « Passer du coq à l'âne » !

"Dans une discussion ou un écrit, passer brutalement d'un sujet à un autre, sans transition ni liaison.
Par extension : tenir des propos incohérents."

INCOHERENTS c'est un peu exagéré .... moi je dirais charmants mais un peu déjantés!!!!
sophie (des grigris)