Je n'ai nul besoin de récapituler le résumé des épisodes précédents. Les cinéphiles hermétiques au genre se fermeront illico telles des huîtres, ce qui serait fort dommage en ces jours de fête à venir. Les aficionados de la première heure et ceux qui ont suivi n'en ont nul besoin. Ils connaissent par cœur la première trilogie et la Prélogie qui en est la suite mais la précède. L'épisode 1 a été créé et est sorti sur les écrans après l'épisode 3. Je précise pour les huîtres qui lisent quand même le billet, que personne ne s'est cassé la gueule avec les boites de bobines, ramassées ensuite à la va vite et projetées dans le désordre.
Les autres comprendront.
Pour ma part j'avais adoré la première trilogie sortie entre Valérie Giscard d'Estaing et François Mitterrand de 1977 à 1983. Ça ne nous rajeunit pas. Surtout moi. A l'époque j'étais jeune, fringuant et dynamique. Et n'allez pas me contrarier en me disant le contraire. En ce qui concerne la Prélogie de 1999 à 2005 j'étais resté plus réservé. Et puis, entre temps, j'avais pris un coup de vieux, même si 47 ans, lors de l'épisode 1, n'est pas un âge canonique mais bon, c'est ainsi.
Alors, hier, lorsque je me suis retrouvé en salle entouré d'adolescents, ce qui n'est pas désagréable, je me suis légèrement assoupi pendant les interminables publicités. Le Réveil de la Force allait de transformer en Réveil de l'Amorphe.
Mais, dès les premières images suivant le générique, la magie a opéré de nouveau grâce au talent du scénariste de "l'Empire contre attaque" et "le retour du Jedi" : Lawrence Kasdan, et du réalisateur de "Mission Impossible" : J.J. Abrams qui ont su retrouver l'esprit de la trilogie originelle à coups de clins d’œil, citations, variations de scènes… et des plans secrets cachés dans un droïde, comme au début de La Guerre des étoiles, un nouvel espoir (1977).
Et puis, il y a les retrouvailles avec de vieux amis pas revus depuis trente ans et qui nous manquait : Han Solo, princesse Leia, Chewbacca, R2-D2, C-3PO et Luke Skywalker.
Certes, tout n'est pas parfait dans ce film parfois pressé. La première trilogie ne l'était pas non plus. Mais cette projection fut un moment absolument jubilatoire affiché sur les mines réjouis des spectateurs dont la mienne.
Alors, hier, lorsque je me suis retrouvé en salle entouré d'adolescents, ce qui n'est pas désagréable, je me suis légèrement assoupi pendant les interminables publicités. Le Réveil de la Force allait de transformer en Réveil de l'Amorphe.
Mais, dès les premières images suivant le générique, la magie a opéré de nouveau grâce au talent du scénariste de "l'Empire contre attaque" et "le retour du Jedi" : Lawrence Kasdan, et du réalisateur de "Mission Impossible" : J.J. Abrams qui ont su retrouver l'esprit de la trilogie originelle à coups de clins d’œil, citations, variations de scènes… et des plans secrets cachés dans un droïde, comme au début de La Guerre des étoiles, un nouvel espoir (1977).
Et puis, il y a les retrouvailles avec de vieux amis pas revus depuis trente ans et qui nous manquait : Han Solo, princesse Leia, Chewbacca, R2-D2, C-3PO et Luke Skywalker.
Certes, tout n'est pas parfait dans ce film parfois pressé. La première trilogie ne l'était pas non plus. Mais cette projection fut un moment absolument jubilatoire affiché sur les mines réjouis des spectateurs dont la mienne.
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