Ou comment le cinéma, à l’instar de la peinture, de la sculpture et de la photographie, s’est amusé à représenter les brunes et les blondes dans des scénarios où se mêlent le désir, le fétichisme et la rivalité mimétique. L’idée est d’Alain Bergala, commissaire de cette exposition à la fois savante et ludique sur l’histoire de la chevelure au cinéma. L’exposition s’accompagnera d’un catalogue (très illustré et avec de nombreux textes et entretiens passionnants), d’une programmation de films, de conférences, d’un documentaire (produit par Zadig Productions et qui sera diffusé sur Arte).
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire