Lorsque dès potron-minet le sommeil m'abandonne, je descends admirer la campagne dans son bel habit de lumière. J'attends que le soleil ne pointe le bout de son nez pour voir s'échapper des entrailles de la terre des volutes de brume qui s'envolent avec les derniers lambeaux de nuit. La journée peut alors commencer.
1 commentaire:
Bonjour Papou, contente de vous relire après une si grande pause,car c'est toujours avec un grand plaisir de naviguer sur vos flots. à bientôt
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