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Certainement une photographie prise le même jour que celle de mon frère ainé Jean-Luc et moi portant son calot d'aviateur avant qu'il ne parte pour les événements d'Algérie. Voir "un jour à Orly".La présence de mon frère Robert est énigmatique lui qui à tôt quitté le domicile familial, ses deux bacs en poche et son baluchon sur le dos, poursuivre sa formation à l'Institut National des Sports.
Fils d'espagnol, le port particulier du calot dénote que j'ambitionnais de briller dans les arènes en dépit d'une dégénérescence maculaire naissante à l'oeil gauche. Je cherchais en vain le taureau alors qu'il était juste derrière-moi. Encorné de dos à ma première corrida et une carrière de toréador brisée. Pas de bol.
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